L'ami Alister

~¤~ Général ~¤~


Nom : Bongoin

Prénom : Alister Henri Boniface

Age : 32 ans

Sexe : Masculin


~¤~ Physique ~¤~


Taille : 1m79

Poids : Aux alentours de 60 kilos

Description Physique : Alister Bongoin, auteur de son état à tendance à user de la négligence ou encore de la désinvolture dans sa tenue vestimentaire. Bien qu’il possède un beau visage aux traits fins, Alister n’attire pas les femmes. Ses cheveux mi long et blond sont en accord avec la barbiche qui ponctue le bas de son visage, comme le point le fait en mettant un terme à la phrase.
Il aime à porter les mêmes vêtements, mais cela lui ai venu faute de ne pouvoir en acheter de nombreux autres. Le plus souvent portant une paire de chaussures sale et non cirées par-dessus lesquelles tombe le bas de son habituel pantalon de velours brun maintenu en place par des bretelles usées mais solides. Il porte également une chemise dont la couleur varie selon ses humeurs (le choix des couleurs s’étendant du vert au brun en passant par le kaki). Par-dessus, il porte une veste brune vieille et râpée au niveau des coudes. Bref, Alister ne roule pas sur l’or.
Nous pouvons aussi traiter ici des mains de l’homme, longue et grandes, elles témoignent d’un labeur passé en s’accordant avec le présent par la présence (je n’ai rien trouver d’autre pour éviter la répétition) de petites taches d’encres sous les ongles.

~¤~ Mental ~¤~


Caractère : Plutôt solitaire, Alister ne se sent pas à l’aise des les soirées mondaines et préfère de loin les bons vieux cabarets ou les bars pour voir ses « amis » d’un genre peu recommandable pour certain lorsque la nuit est tombée. Tout le monde est d’accord pour dire que l’ami Alister n’a pas de bonnes fréquentations et que cela a influé son comportement. Car Alister boit et fume plus que de raison. Il aime a dire qu’il sait ainsi que ses amis que son l’alcool et le tabac (voir les différentes drogues auxquelles peuvent se soumettre un auteur ne milieu pauvre) seront aussi ses bourreaux et plus tard… ses meurtriers.
Alister était sur le front deux ans au par avant, et même si il ne présente pas de séquelles phisiques, il en est sortit à moitié fou, impulsif et parfois pris de crises de démence.
Néanmoins lorsque Alister est en pleine possésion de ses ésprits, c'est un homme doux et serviable qui se débrouille comme il peut pour écrire de quoi survivre en ce temps de reconstruction qu'est l'année 1920.

Votre Personnage Aime : Hum… qu’aime donc Alister ? Peu être la boisson, oui mais se serait trop facile de s’arrêter dessus. Dire qu’il aime aussi sa voisine du dessous (celle qui ressemble un peu à sa defunte femme) serait absurde mais tellement vrai. Il aime aussi la musique de chambre qui le détend énormément.

Votre Personnage Déteste : Il ne s’aime pas, pour faire cour il aimerait vivre comme dans l’un de ses livres, où les personnages sont heureux et riche. Mais l’argent et le bonheur ne sont-ils pas deux choses que seul ceux qui ne les ont pas désirent ?

Qualités : Doux, serviable, imaginatifs, sont les principaux adjectifs lorsqu’il s’agit de qualifier Alister. On le dit également agréable à regarder mais je ne considère pas ça comme une véritable qualité car Alister ne l’a pas choisis. Propre sur lui, certes, pourquoi pas, mais beau, plus personne n’utilisa ce mot depuis la fin de la guerre. Lorsqu’il est saint d’esprit, Alister Bongoin est également courtois et polie, bien qu’il faillent s’arrêter et parler avec lui pour s’en rendre compte et son caractère taciturne dissuade bien des gens à s’approcher de lui.

Défauts : Impulsif (oui c’est en contradiction avec l’adjectif « doux » de la ligne précédente, mais lorsque Alister passe ses soirées en ville, il devient son « opposé »), poivrot, drogué et détraqué même si il n'y peu rien. Il est aussi rancunier et sans scrupules. Les journalistes le qualifièrent de morbide et de sanguinaire tueur, mais cela n’est arrivé qu’une fois… pour le moment.

~¤~ Histoire ~¤~

Métier:Ecrivain pour ce qui est du jour…

Histoire personnelle: Alister Bongoin, né en novembre 1888 est issus d’une famille plus que modeste. La famille Bongoin vivait en effet dans la banlieue pauvre de Paris, le père étant ramoneur et la mère ne travaillant pas, l’argent quelque chose qu’Alister a toujours souhaité avoir. Bizarrement, alors que les familles pauvres sont souvent nombreuses, Alister Henri Boniface n’a jamais eu de frères ni de sœurs. Il s’est donc très tôt forgé un esprit fort qui d’après son père le ferai allez loin.
L’école fut également pour lui une sorte d’échappatoire, une voie salvatrice qui pourrait lui permettre de se démarquer, de gagner sa vie et plus tard de vivre dans la ville lumière car tel était l’un des nombreux rêves d’enfant du jeune Bongoin. Il a vite prit goût à la lecture. Se plongeant dans tous les livres qu’il trouvait, il aimait à s’identifier aux personnages, à discuter mentalement avec eux dans son sommeil. Il n’eu alors plus aucune idée en tête que celle d’écrire, car il semble évident que la lecture et l’écritures sont deux choses indissociables.
Il eu des études modestes, mais qui lui permirent de développer son amour des livres et de faire de l’écriture son métier.
Avant la guerre, il fut l’auteur de quelques livres à succès, vivant modestement, Alister envoyait une partie de son argent à sa mère devenue veuve et qui ne pouvait vivre que grâce à cela.
Puis, Alister tomba amoureux, de la belle Béatrice, une jeune femme qu’il voyait tous les jours, lorsqu’il allait à l’épicerie. Ils se marièrent et furent heureux, ils eurent même un petit Tom, fierté de son père. A ce moment là, personne n’aurait sut dire que la famille Bongoin allait vivre un enfer sans nom.

Eté 1914, la Grande Guerre commence. Alister comme la plus part des hommes valides de son âge et envoyé sur le front. Il y restera 4 ans, survivant au jour le jour grâce à la correspondance qu’il tien avec sa femme. Il a des nouvelles de son petit Tom, il sait marcher il apprend à parler… tout un tas de petites choses que l’on souhaiterait vivre. Parfois, lors de ces permissions, Alister retourne à Paris et passe une semaine avec ceux qu’il aime. Sa mère vient de mourir, la guerre fait rage, mais ces semaines semblent des Oasis dans le grand désert de la désolation de ce temps tourmenté. Mais la famine s’installe dans les villes. L’épicerie que Béatrice avait reprise ne reçoit que très peu de nourriture car la plus part est réservée pour les soldats.
A la fin de l’année 1918, alors que la guerre vient de prendre fin, Alister rentre chez lui et découvre alors que sa famille n’a pas survécus aux maladies qui ont imposées leur règnes dans les quartiers de la ville, tuant sans faire de différances entre les différentes classes sociales de la société.
Découvrant avec effrois que tous lui avaient été pris, Alister vendit son appartement et loua une chambre de bonne dans un quartier pauvre. C’est à ce moment là que l’écrivain sombra dans la folie, il fut oublié par tous, car à cette époque, seuls les soldats mutilés physiquement étaient aidés, mais Alister, qui revenait entier en apparence avait perdu ce qu’il avait de plus chère, sa famille, son esprit, et son talent.

Plus jamais les livres d’Alister Bongoin ne furent achetés. Alors, l’auteur vécu dans la pauvreté et l’ignorance des hautes gens de Paris, se dévorant de l’intérieur, devenant une sorte de monstre.

Car un soir alors qu’il avait trop but, un homme, un mendiant interpella le malheureux Alister. Il lui demandait sans doute de l’argent, ou une cigarette, Alister ne s’en souvient plus. Mais ce dont il se souvient, c’est de cette lame qu’il avait dans la poche. Ce dont il se souvient, c’est d’avoir passé cette lame dans la gorge de l’homme et d’avoir pendu son corps en nouant le pantalon du mendiant autour de son coup.

Au petit matin, le journal avait parlé de ce corps égorgé et retrouvé pendu par le cou à un lampadaire.

Morbide ? Oui, mais Alister n’a pas choisit son destin, c’est le destin qui l’a choisit…

~¤~ Divers ~¤~

Comment avez-vous connu le forum? « I have a dream » (bon okay ça fait pompeux mais c’est vrai) La nuit dernière, j’ai rêvé d’un personnage, au matin, je l’ai baptisé, mais il me restait à le loger. Alors, toute la journée, j’ai arpenté le net à la recherche d’un forum qui pourrait servir de maison à Alister. Et voilà, mon dévolu est tombé sur le votre.

Je suis assez impressionnée par le développement caractériel de ton Docteur Jeckill, et je suis certaine que tes rps devraient être très agréable (ne pas dire que ton style d'écriture m'a beaucoup plu mais c'est le cas^^)

Il faudrait avant que je te valide que tu écrive quand même le minimum syndical de ton histoire, on doit pouvoir cerner le personnage sur tous ses angles, mêmes historiques.

j'aimerais aussi si possible que tu étoffe un peu le coté qualités/défauts.
Pas 10 lignes mais un peu plus concentré.

Sinon ravie quand même de t'acceuillir et à bientôt avec les détails.

Et voilà, l'ami Bongoin vien de livrer tous ces secrets...

a part un petit "p" en trop au mot cou je n'ai rien à redire.

Je pense que le grand chef ne m'en voudra pas de te valider moi-même.
Alors bienvenu parmis nous et bon jeu.

merci bien