Une petite ballade culturelle.

Clément venait d'arriver en ville et de s'installer dans l'appartement familial qui lui vint une envie subite de errer dans les lieux culturels de cette magnifique ville. C'est ainsi qu'il se retrouva devant le Louvre au bout des longues minutes qu'il passa se rappelant les dires de son père durant son enfance lors de la visite de cette ville.

La nuit venait peu à peu amenant avec elle fraicheur fort simpathique. Il s'arréta sur la place et observa les deux Pyramides qui ornaient la place et annonçaient ce musée fort passionant. Il y était entreposé des oeuvres d'art qu'on ne pouvait imaginer tellement la technique utilisée était subtile et délicate.

*Il n'y a point de doute, je suis bien de retour à la capitale. Une petite distraction serait elle aussi la bienvenue!*

Il n'était pas revenu en ce lieu depuis sa tendre enfance peu avant l'accident de son paternel. mais les quartiers riches de Paris n'étaient pas si différents que ceux de Bordeaux: les mêmes gens y logeaient avec des manières encore plus snobes peut être. et les petites gens étaient tout aussi misérables ce qui l'exaspéra au plus au point. En repensant à tout cela une once de nostalgie le parcoura et examinait maintenant les batiments ancestraux très bien conservés.

Il ne pu retenir un léger soupir et replongea dans ses pensées et ne fit plus attention aux personnes qui pouvaient l'entourer tellement il était fasciné et concentré.

Rose attendait que son chauffeur arrive au volant de sa voiture rouge bordeaux. Elle était partie tôt ce matin pour rencontrer des gentlemen et choisir lequel d’entre eux elle jetterait son dévolu. Argent argent, et toujours argent. Et plaisirs, aussi. La star du Moulin Rouge ne se donnait pas à n’importe qui, seule ceux qui avaient le porte-monnaie le plus rempli accédaient à ses faveurs.

Habillée d’un ensemble émeraude assortit à son chapeau et ses hautes chaussures à talon, elle se dirigeait vers la sortie du musée, fouillant dans son sac à main à la recherche de son rouge à lèvre et de ses gants. Il ne faisait pas si froid, dehors, mais Rose avait l’habitue de couvrir ses mains. Surtout pour sortir. Ce petit rendez-vous avec tous ces messieurs lui avait ouvert l’appétit, il était près de midi, le soleil au beau fixe, alors pourquoi ne pas envoyer quelqu’un chercher un de ses amants pour qu’elle déjeune avec lui ? Trop tard, tout de même. Ses hommes avaient généralement des hautes fonctions. Tant-pis, elle mangerait seule, à moins qu’elle ne se trouve quelqu’un pour la distraire.

Rose soupira longuement, continuant a farfouiller dans son sac.

« Mais ou est donc passé ce fichu… » marmonna t-elle, concentrée sur sa tache.

La jeune femme percuta de plein fouet un corps masculin. Elle releva la tête trop tard, et manqua de tomber à la renverse, victime de la hauteur de ses talons. Elle se raccrocha à l’inconnu, puis reprit sa stabilité. Son sac était tombé au sol, renversé. On pouvait voir des clés, un mouchoir en dentelle, un rouge à lèvre, des gants, des cigarettes et autres fantaisies de la célèbre danseuse du Moulin Rouge.

« Mais c’est pas vrai ! » lâcha t-elle, excédée. « Faites un peu attention, mon brave et évitez de faire traîner votre joli minois sur le passage et de causer du trouble aux gens qui passent. »

Elle le regarda avec insistance, attendant qu’il se confonde en excuse et qu’il ramasse ce qui était tombé au sol, insensible à son charme angélique et son physique avantageux. Il n’avait pas l’air riche, il n’intéressait pas la danseuse.

Clément était profondément plongé dans ses pensées lorsque quelque chose le heurta violament alors qu'il se trouvait stoppé deavnt les sublimes batiments du Louvre. Il se retint de lacher un juron: cela ne collait pas avec son image de marque.

La personne s'était attrapé à lui pour ne pas tomber. Pour ne pas qu'il l'entraine dans une chute il la rtint le mieux que possible et lorsqu'elle fut dur pied il la lacha et fit un pas en arrière. Son regard fut attiré quelques secondes par le bruit du sac à main de la jeune femme qui heurta le sol. ISon regard revint à la jeune femme lorsqu'elle rala contre sa personne.

*Elle ne a du culot cette jeune demoiselle."

Pendant qu'elle ralait il avait fait un tour rapide de ses vétements. Il connaissait ce genre de femme qui tentait veinement de se faire passer pour plus classe qu'elle ne l'était réellement: ce genre de fille ne faisait jamais long feu d'après son expérience.

Mais il ne dit rien et fit paraître une expression désolée qui était totalement hypocrite lorsqu'on le connaissait personnelement. Et lui dit:

"Veuillez m'excuser chère demoiselle mais je ne vous avait pas vu ce qui est étrange vu votre beauté éblouissante."

Il se baissa et rammassa les affaires de la jeune femme, se redressa et lui dit:

"J'espère que vous pourrez me pardonner."

Pour se faire excuser en apparence il lui fit un baise main après lui avoir rendu ses affaires puis sortit de sa poche une montre. Elle prennait comme un gens de son espèce et cela si elle lui en donnait l'occasion il lui ferait payer très chèr.

"Si je peux faire quelque chose pour vous j'ai du temps devant moi avant mon prochain rendez vous si vous le souhaitez."

Il avait tout le temps qu'il souhaitait puisque il n'avait pas encore reprit possession de son bureau ce qu'il erait sans doute dans la journée mais avant il passerait chez lui se changer pour paraitre convenable contrairement à ce moment précis.

[ hrp : cool, un méchant ^^ ]

Elle arqua un sourcil devant les excuses de cet homme, certes séduisant, mais dont elle n’appréciait guère les manières. Pour elle, ce n’était pas sa faute, mais la sienne à lui. Croisant les bras, elle s’appuya sur une jambe, laissant ainsi apparaître son superbe déhanché moulé dans sa robe émeraude.

« Si vous commenciez par ramasser tout ce qui est tombé au sol, je crois que ce serait fort avenant de votre part… » fit-elle d’une voix hautaine.

Elle désigna ses effets personnels du menton. Elle n’allait tout de même pas se baisser alors qu’il pouvait le faire, lui. Apparemment, il ne l’avait pas reconnue comme la danseuse phare du Moulin. Tant mieux ou tant pis ? Non. Mais qu’avaient donc tous les hommes à ne pas la reconnaître ? Hier Cyprien, aujourd’hui cet énergumène…Oui, décidément, tout ceci était fort vexant pour une personne aussi égocentrique que Rose.

« N’oubliez pas le rouge à lèvre là-bas » déclara Rose en désignant de son index un petit tube doré plus éloigné.

Elle réajusta son petit chapeau, en jetant un coup d’œil dans le reflet des fenêtres du bâtiment.

« Vous avez sûrement un nom ? « demanda distraitement la jeune femme en se regardant toujours. A présent, elle remettait de l’ordre dans ses cheveux réunis dans un filet noir. Puis, elle lissa les pans de sa jupe et épousseta ses épaules. Enfin, elle posa de nouveau son regard bleu-gris sur lui, attendant la réponse à sa question.

(hrp: je les trouve plus intéressant).

Clément ne répondit pas aux remarques de la jeune demoiselle sinon il n'aurai pu se tenir. Cela l'énervait au plus haut point qu'une fille du peuple ose lui parler sur ce ton. Décidément il ne l'appréciait guère et si elle lui en donnait ne serait ce qu'une petite occasion il pourrait s'amuser sans éveiller trop les souspçons de la haute société.

Il reprit le rouge à lèvre qui lui avait échappé. Une fois que cela fut fait il lui addressa le plus faux jeton de sourire bienveillant qu'il savait faire et lui dit:

"J'éspère que cette fois ci je n'ai rien oublié."

Cela ne lui avait pas échappé que cette jeune femme voulait 'bien paraître' comme les nobles dames mais cela ne le trompait pas. A la dernière remarque de celle ci il dit d'un ton désolé:

"Je suis navré je manque vraiment à tous mes devoirs aujourd'hui. Le voyage peut être mais je n'ai aucune excuse."

Il fit une petite révérence et dit:

"Je me nomme Clément De Chateau. Je viens juste d'arriver en ville pour prendre la succession de mon défunt père. "

Clément avait parfaitement vu que la jeune femme était paré de tous les charmes dont une femme pouvait disposer. Il plongea alors son regard dans le sien et lui dit:

"Je devrais peut être savoir comment vous vous nommer vu que vous devez pluôt être connu dans cette ville vu votre somptueuse beauté mais malheureusement votre nom me fait défaut. Puis je le connaître?"

Tout en disant cela il lui tendit son sac et lui fit le plus sincère sourire dont il était capable tout en la méprisant intérieurement.

*Ce genre de fille veut toujours se faire respecter! C'est pathétique!*

Il continuait de la regarder tout en souriant en attendant sa réponse.

*Avec son orgeuil je crois que je vais pouvoir bien m'amusé!*

[ hrp : voui, moi aussi ^^ ]

Rose arqua un sourcil, tube de rouge à lèvre en main. Elle enleva avec regret son regard du reflet des fenêtres, puis le posa sur l’inconnu.

Lorsqu’elle entendit le mot « succession », une pointe d’intérêt brilla dans ses yeux gris-bleus, et les traits de son visage se changèrent en une expression charmeuse. Il héritait, donc, il avait de l’argent. Grosse fortune ou mince fortune, c’est ce qu’elle voudrait bien découvrir. Après tout, elle ne ratait jamais une occasion de pouvoir profiter de l’oseille d’autrui. Comme elle se montra soudainement plus intéressée, elle le détailla à nouveau. Oui, c’était vrai qu’il avait un physique plutôt avantageux. Pensive, elle se dit que passer une nuit en la compagnie de ce jeune homme ne devrai pas être désagréable. Puis après tout, Cyprien ne lui avait pas interdit d’ accorder ses faveurs à d’autres hommes. Et celui-là n’avait pas l’air d’un « vieux pervers bedonnant », pour reprendre l’expression de Monticourt.

Elle apprécia ses manière polies et charmantes, le jaugeant de son regard circonspect.

« Vous apprendre mon nom bien assez tôt si vous venez faire un tour au Moulin » fit-elle en laissant sa phrase en suspend. « Rose. Rose Fontenoy »

Elle saisit son sac, regarda si tout était en place, puis elle attrapa une cigarette qu’elle plaça dans un long tube en ivoire, puis l’alluma, recrachant la fumée sur lui avec une petit sourire provoquant au coin des lèvres.

« Vous êtes donc un nouveau venu à Paris ? » répéta t-elle d’une voix suave. « Vous comptez y rester longtemps ? »

Clément lui rendit poliment son sac et lui offra le plus beau de ces sourires. Bien sur le changement d'attitude de la jeune demoiselle ne l'échappa pas lorsqu'il parla de la succession.

*Décidement ce genre de fille n'est attiré que par l'argent et le pouvoir pour se faire entretenir:*

Son regard dévisageant sa personne ne l'échappa pas non plus mais fait mine de ne pas l'avoir remarqué. Lui ne s'était pas privé pour la détailler de près sans que pour autant elle puisse le remarquer. Même si elle était une pro dans ce domaine il n'avait rencontré que très peu de personne qui le surpassait à ce petit jeu là.

Il écouta la tirade de son interlocurice, toujours avec le même sourire, et laissa échappé volontairement:

"Le moulin rouge! le plus connu des cabarêt en France. A vrai dire je n'ai jamais vraiment eu le temps d'y passer mais on dit que le spectacle est formidable!"

*le moulin rouge réputé surtout pour la deuxième partie de soirrée avec des hommes frustrés et plus haut moins riche qui se font déplumé pour passer la nuit avec une fille.*

Toujours avec un sourire il ajouta:

"Mais l'idée de vous voir sur scène un jour me poussera certainement à y aller"

Lorsqu'elle lui dit son nom il lui répondit, très gentleman:

"Enchanté, Melle Fontenoy".

Pendant ce temps elle s'était armée d'une cigarette qu'elle aluma et lui lacha la fumée dans la tête se voulant aguicheuse.

*Elle ne sait pas faire la pauvre!*

Il tourna la tête un instand sur la droite afin d'éviter le plus possible la fumée puis répondit à sa seconde question:

"Oui je viens d'arriver pour résider dans cette ville de façon permanente afin de pouvoir gérer parfaitement les affaires de famille. mais quelques lieux me sont familier grâce à mes quelques visites et je venais trouver un peu de calme avant de commencer à recontacter les amis et collaborateurs de mon défunt père."

Puis il lui retourna sa question:

"Et vous cela fait il longtemps que vous demeurez dans cette sublime ville?"

Puis il dit amusé:

"Si oui vous pouriez peut être me servir de guide dans cette nouvelle jungle qu'est la ville de paris!"

Puis au bout de quelques secondes il dit d'un air faussement désolé:

"Ne tenez pas part de mes propos vous ne devez pas avoir beaucoup de temps libre tout comme moi!"

Il avait dit cela dans le seul but de voir comment elle réagirait. Tenterait elle d'essayer de plumer un homme faussement naif ou resterait elle dans ses tranchés?

Elle marcha dans l’hypocrisie de Clément, ne se doutant pas de ce qu’il pensait. Elle ne réprima pas sa fierté lorsqu’il reconnut le Moulin Rouge, établissement ou elle travaillait chaque soir.

« Venez y faire un tour, un jour, je dirai de vous réserver un siège… » déclara t-elle en fronçant les sourcils, se disant qu’elle avait déjà dit ça à Cyprien la dernière fois.

Haussant les épaules, elle s’en ficha, rien ne l’interdisait de voir d’autres hommes, et encore moins Cyprien. Même si elle eut la désagréable sensation de trahir le compromis qu’ils avaient édicté. Non, non, elle ne trahissait rien, se dit-elle. Ce Clément de Château n’était pas un vieillard bedonnant et pervers…

« Vous êtes charmant » susurra t-elle, aguicheuse.

Elle fuma sa cigarette, ses lèvres rouges assortit aux ongles de cette même couleur.

« Les affaires…et qu’y faites-vous donc exactement ? » demanda t-elle, intéressée.

Selon sa réponse, elle fixerait s’il était riche ou non, et s’il elle devait se donner la peine de le séduire pour en profiter. Rose n’aimait guère perde son temps avec des hommes en dessous de ses moyens

« Je suis née à Paris » fit-elle d’une voix évasive en recrachant la fumée, les yeux rivé sur la façade du Louvres qui se trouvait à l’opposé d’eux.

Reportant son attention sur lui, elle hocha négativement la tête.

« J’accorde le peu de temps que j’ai à ce qui m’intéresse, les rendez-vous officiels, les achats de vêtement, la culture...»

Autrement dit, Clément intéressait peut-être Rose s’il en avait les moyens. Elle le détailla de haut en bas avec un sourire provoquant et séduisant.

« Mais il est aussi possible que je déroge à certaines de mes habitudes… »

S’il était gentilhomme, il lui proposerait une balade, ou un verre dans un café. Elle accepterait, bien sur, après quelques fausses hésitations de convenances. Après tout, elle ne connaissait pas cet homme, et par conséquent, ne savait ses goûts en matière de femmes…peut-être aimait-il les timorées et prudes, rôle qu’elle pouvait jouer un certain temps…mais pas trop, la pudibonderie n’était pas dans la nature profonde de la jeune femme.

La fiérté qui émanait de cette femme à l'évocation du Moulin Rouge n'avait pas échappé au jeune homme qui ne voyait pas vraiment en quoi elle pouvait être fière: peut être pour son show...

A sa première remarque Clément se contenta de répondre d'une voix amusée:

"J'y penserais à l'occasion!"

Il avait également remarqué le haussement de sourcil de son interlocutrice mais ne le fit pas remarquer grâce à son éducation. mais a sa seconde remarque il afficha un grand sourire et lui rétorqua:

"Je vous remercie du compliment et je vous le retourne. Je dois avouer que votre compagnie est agréable".

Il fit une courte pose puis reprit la parole afin de répondre à sa question:

"Ma famille détient un théâtre depuis des générations et c'est dans les gènes de s'occuper de le faire tourner tout en s'occupant des rentes de la famille. En plus clair je suis directeur de casting."

Tout en écoutant le récit de la jeune femme d'une oreille il sortit sa montre de sa poche afin de regarder l'heure: il était midi et demie. A la dernière remarque de celle ci il ne pu laisser échapper un mince sourire qu'il afficha et après qu'elle eu terminé dit:

"J'en serais ravis. Il est donc improbable que vous m'accompagniez prendre un verre avant de vaquer à vos occupations?!"

Il fint un un sourire gentil et légerement interrogatif en apparence et en étant très amusé intérieurement. Ce petit jeu décidément ne le lassait guère.

Rose arqua un sourcil. Bien sur, que sa compagnie était agréable, elle s’y employait bien, quand elle mettait de la bonne volonté. Heureusement d’ailleurs, sinon, elle aurait eut du mal, dans son parcours.

Ainsi il était gérant d’un théâtre…et directeur de casting ? Elle n’avait pas ouïe dire qu’un nouveau du métier était arrivé en ville, Oliver ne l’en avait pas avertie…aurait-il peur de la concurrence, ce cher petit bonhomme ?

« Quel est le nom de ce théâtre ? Peut-être y suis-je déjà allée… » supposa t-elle en cherchant dans sa mémoire quels pourraient bien être les théâtres susceptibles d’exister depuis longtemps, et surtout, en passe de changer de gérant.

Il lui demanda enfin une ballade. Avec un sourire de fausse hésitation imperceptible, elle regarda à droit et à gauche, puis sortit un petite agenda relié en cuir, qui dégageait le parfum au patchouli de Rose. Elle fit mine de regarder brièvement son emploi du temps – qui existait bel et bien sur ce calepin- puis le ferma sèchement et le rangea dans son sac.

« Il serait théoriquement improbable que je prenne un verre avec vous puisque je suis sensée rentrer pas trop tard…cependant, je ne suis régie par rien d’autre que ma volonté et mes désirs, et je n’obéit qu’à ma seule personne… (elle soupira) Oui. Oui, allons donc prendre un verre… »

Elle rangea son porte-cigarette dans son sac et mis ses gants, se regarda un bref instant dans un petit miroir à clapet qu’elle referma aussitôt en un petit bruit de « clap », puis elle posa son regard limpide sur lui.

« Allons-y…vous avez une préférence pour un endroit particulier, peut-être ?" demanda t-elle galamment.

[hrp: désolé de mettre autant de temps à répondre mais j'avais pas trop le temps.]

Le jeune homme savait qu'il lui fallait du temps pour réfléchir sur le fait qu'il y avait un nouveau directeur de casting et qu'elle n'était pas au courant: cela ne l'étonna guerre.

Il patientait tout en attendant la réponse de cette jeune femme sans faire paraître son exaspération sur l'attitude de celle ci et garda toujours la même sourire aux lèvres. Lorsqu'elle posa sa première question son exaspération fut d'autant plus grande dans la mesure ou ses questions manquaient d'originalité. Il lui répondit tout de même gentiment la même réponse qu'il donnait à chaque fois:

"Il est probable que vous y soyez allée mais cette question que vous me posez est délicate dans la mesure où il a porté beaucoup de nom au cours des décénies et son appelation a créé bien des conflits puisque personne n'est d'accord. Donc pour le moment il ne porte pas de nom mais je ne désepere pas un jour trouver le nom qui lui conviendra le mieux!"

Et il ajouta par pur politesse:

"Mais je serais enchantée si un jour le coeur vous disait de venir le visiter."

A sa seconde question, après son manège, elle lui demanda ou il pouvait bien allé. mais il futquelque peu hésitant dans la mesure où il ne connaissait que très peu de lieux fort sympathique en Paris mais qui n'étaient absolument pas du monde de celle ci et lui dit avec un sourire géné:

" J'irais ou bon vous semblera le meiux dans la mesure ou je n'ai pas encore prit mes marques dans cette ville. Avez vous une envie particulière? Votre choix sera le mien."

Clément attendait de voir le genre de lieu que cette femme choisirait. Serait elle aussi snob qu'elle tentait de le faire croire ou plus rusée qu'elle ne parait?...

Une bourrasque de vent balaya une mèche mordorée sur le visage de Rose, qui frissonna légèrement, remettant son chapeau comme il faut. Cet homme était étrange, mais pas désagréable au regard, et au parler. Ellle sourit, donc.

« Fort bien, je suis curieuse de connaître le nom de votre futur établissement… » lança t-elle, légère.

La jeune femme commença à avancer sur le sol de la cours du Louvres. Ses talons martelèrent les pavés, à la façon des grandes dames d’autrefois. Sa démarche était féline, gracieuse, calculée. N’avait-elle pas appris tous les secrets pour rendre fou un homme ? Avec un petit sourire, elle se retourna.

« Je connais bien quelques endroits… » commença t-elle, maligne et hésitante.

Elle se mordit la lèvre inférieure, les yeux rieurs.

« Mais pas de ceux que vous fréquenteriez…allons simplement à Montmartre » fit-elle

Elle reprit sa marche, faisant subtilement onduler ses hanches épanouies. Quelques passants la regardèrent, et elle sentit leurs désir dans leurs yeux. Elle aimait ça, être désirée. Qu’on la vénère, qu’on la traite comme une reine et qu’on l’appelle déesse. Un peu de rêverie dans un monde trop noir. Les temps étaient durs, pourquoi ne pas s’imaginer un autre monde ?

Elle attendit qu’il soir à sa hauteur pour lui prendre le bras.

[hrp: place le nouveau topic ou tu veux, je t'y rejoindrai ^^ ]

Lorsque la bourasque de vent intervint il put regarder avec plus d'attention le regard fin et gracieux de la jeune femme qui lui tenait compagnie. Elle serait vraiment belle si elle ne tentait pas d'avoir toujours ce petit air hautain...

A sa première remarque il lui répondit aussi gentiment qu'il lui avait donné l'habitude:

"Moi aussi j'aimerais le connaitre... Mais peut être que l'inspiration viendra soudenement.."

Après avoir observé son visage il détailla son allure et sa manière de marcher et l'effet qu'il avait sur les hommes qui se trouvaient sur leur passage:

* Décidement ils sont dupes facilement ceux la...*

Mais la voix de Rose lui fit perdre le fil de ses pensées au profit de sa conversation et lorsqu'elle eu finit il lui demanda:

"Et comment savez vous les lieux que je porrais fréquenter? Je pourrais bien être un mal apprit déguisé?..."

Il avait dit cela sur le ton de l'humour puis ajouta:

"Nous irons donc à monmattee pour votre bon plaisir chère demoiselle..."

Lorsqu'elle lui prit le bras il l'acceuilla très poliment et il commençèrent leur assension.